Didier Pralon expose la question de l’étymologie de Massalia.
Manuel Moliner reconstitue le paysage urbain de Massilia.
Jean Guyon précise les connaissances sur le premier groupe épiscopal.
Catherine Dureuil-Bourachau propose un bilan du patrimoine archéologique et examine sa valorisation auprès d’un large public.
Thierry Pécout montre que les livres liturgiques médiévaux peuvent être l’objet d’histoire.
Gilbert Buti restitue l’ampleur de la flotte au service de Marseille au XVIIIe siècle.
Régis Bertrand retrace l’évolution du cimetière Saint-Pierre.
Xavier Daumalin décrit le renouvellement récent de l’histoire économique de Marseille.
Patrick Boulanger reconstitue les goûts gastronomiques du Marseillais Adolphe Thiers.
Éliane Richard retrace son itinéraire d’historienne.
Jean-Yves Le Naour revient sur la « mauvaise réputation » des Marseillais pendant la guerre de 1914-1918.
Robert Menchérini étudie l’Occupation et le rôle de la Résistance dans la ville et Renée Dray-Bensousan, l’histoire des Juifs de Marseille au XXe siècle.
Arnaud Ramière de Fortanier évoque l’essor des archives et de leur étude entre 1968 et 1984.
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